Vendredi 19 avril

Samedi 20 avril

Spectacle : Ibrahim et les fleurs du Coran. Avec Éric-Emmanuel Schmitt

Samedi 20 avril à 14 h
Théâtre La Coupole

Gratuit, sans inscription

Paris, les années 60. Momo, un garçon juif de douze ans, devient l’ami du vieil épicier arabe de la rue Bleue pour échapper à une famille sans amour. Mais les apparences sont trompeuses : Monsieur Ibrahim n’est pas arabe, la rue Bleue n’est pas bleue et la vie ordinaire peut-être pas si ordinaire…

 

Comment échapper à la solitude, à la malédiction du malheur ? Comment apprendre à sourire ?

L’histoire tendre et drôle d’un gamin au franc-parler et de l’épicier arabe de sa rue revit, ici, exceptionnellement interprétée par son auteur.
Un texte qui a fait le tour du monde, publié dans 50 pays, joué maintes fois dans toutes ces langues. Il a offert au grand Omar Sharif un César en France, et un Lion d’Or à Venise, une nomination au Golden Globe américain pour le film réalisé par François Dupeyron.

Spectacle : Brûler, danser. Avec Lisette Lombé

Samedi 20 avril
Salle des portes

Gratuit, sans inscription

La performance scelle la rencontre du slam et de la musique électronique comme le désir ardent pour ces deux artistes de collaborer. Par l’entremise de Remontada, son héroïne, Lisette Lombé donne de la voix et manifeste toute la puissance de son écriture, pleinement habitée par les mots et l’émotion. Animée d’un esprit de révolte contre les hypocrisies de la société patriarcale, elle lutte pour elle-même, sans ennemi désigné sinon le temps qui imprime sa marque, pour œuvrer par la danse à la reconquête de soi.

 

Dans ce mouvement, elle s’embrase. Elle inspire à Cloé du Trèfle une composition organique tout aussi incandescente, qui passe de nappes délicates à des basses furieuses. Le corps de la poétesse et la musique de la musicienne, les mots et les sons, s’y frottent jusqu’à faire feu. Quelque part entre la philosophie musicale et la poésie pulsatile, Brûler Danser invite à célébrer un voyage nocturne et l’aube sur laquelle il débouche, une remontée après le temps post-confinement et le choc post-traumatique, portée par notre besoin commun de résilience.

 

Dimanche 21 avril